Elle vocifère David et tout le monde est à ses pieds - dans un tresór de Warner Bros. de 1947.
Bien
sûr que Joan Crawford est née pour interpréter un rôle comme de la femme
incontrôlée, une infirmière fidèle à ses émotions que s’appelle Louise Howell.
Elle doit avoir quelques trente ans et les nombreuses tâches pour faire dans la
maison de Dean Graham occupent tout son temps. Sans doute, Louise prend le peu
de temps que reste à l’amour. L’amour à l’homme fatal David Sutton, interprété
parfaitement pour Van Heflin. Dans la maison de Dean Graham, Louise soigne l’épouse
invalide de son patron et quand il lui donne un jour de congé, elle se plaît de
la compagnie d’amant David. Comme un authentique véhicule de Crawford,
représentant de l’âge d’or de mélodrames par Warner d’après la guerre, de films
de les femmes – « Women’s Pictures », LA POSSÉDÉE trouve sa
protagoniste dans un tourbillon d’émotions sans éviter la construction d’un
personnage sympathique.
"Porquoi?". David demande à Louise.
La
vie de Louise Howell se transforme complètement durant un jour de congé. La
méticuleuse infirmière s’irrite avec la négligence de son amant, un
mathématicien très sceptique. Après retourner à la maison dévastée, elle reçoit
la nouvelle de que son patient était mort alors que elle discutait la relation
avec David. Le mystère de la mort de madame Graham va causer peu à peu un
trouble psychiatrique à la vie de Louise, ses sentiments deviennent un fardeau,
l’obsession amoureuse est le principal argument du film.
Louise cherche David en étrangers dans la rue.
Il
est louangé comme une pièce essentielle du film noir, au cinéma américain des
années 40. L’élégant et gâté terme [film-noir] a été inventé par un critique
français dans le but de caractériser personnages problématiques, les relations
amoureuses conflictuelles, la criminalité d’un point de vue onirique et décadent.
Le baroque clair-obscur et l’expressionnisme allemand nous envoient de souvenir
à travers des plans soûls d’illumination et de contraste. Où on a un jeu entre l’illusion
et la réalité que les fans du genre aiment tant. Comme la production du Noir
apprécie son esthétique tortueuses et puissante, l’interprétations prennent un
héritage de théâtralité plus explicite de la pantomime du cinéma muet à la
solidification d’une sensibilité Camp, l’apprenti du Kitsch.
Louise ne sait pas quoi faire quand voit David avec autre femme.
Admiré
par les chercheurs du genre, LA POSSÉDÉE est arrivé dans un bon moment pour
Joan Crawford que plaît ses fans avec un tour de force. Son interprétation
combine un travail virtuose de force et commotion. Il y a une complexité dans
ses yeux que communiquent la souffrance de Louise et son corps rigide, sans
mouvements brusques, révèle une tension proposée par l’histoire. La rigidité de
sa performance ambigüe fonctionne d’une part qu’on sympathise avec elle, mais
d’autre part on distance de ses absurdités. La perspective psychologique donnée
par la caméra subjective et par le format de conter avec mémoire crient un
effet mélancolique pour un de les premiers cas schizophrène représenté dans le
cinéma.
Louise parle avec le docteur de ses mémoires.
Part du
discours psychanalytiche peut se présenter trop systématique. Toutefois, le
travail de présenter au spectateur la difficulté de Louise triomphe. À partir
de la langage cinématographique, quand elle a besoin de différencier l’illusion
et la réalité, son moment de catharsis se construit aussi à travers d’une
esthétique unique. On vibre à chaque fois qu’une folie attaque Joan Crawford et
on peut témoigner près d’elle sa bravoure résonnante.
Joan Crawford, la reine chez le monde du film noir.
Voir aussi +
"La Possédée: Le Film Noir Quintessentiel" (2005)
Un documentaire sur l'importance de "La Possédée" au genre de les films Noir.
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